A CELUI QUI PARTIRAS !
Oh ! Toi, qui partiras un jour,
Porte mon salut fraternel et d'amour
A tous mes parents et amis
Que mon cœur languit.
L'absence est longue et interminable
Pour vous et pour moi, mes semblables
Mon âme se désespère de jour en jour
En veillant des nuits blanches, sans amour
Sans sommeil et sans espoir, de voir le jour.
Va ami, rapporte moi de ses nouvelles
Je compte sur toi, ami éternel
Dès que tu auras franchi la mer mouvementée
Je t'attendrai avec espoir et esprit tourmenté.
Sois mon messager, oiseau faucon
Fends les cieux comme un dragon
Vas vers ma bien-aimée, fleur du jour
Dis lui, que je la verrai peu être un jour.
A WIN IRUHEN
Siwed-iyi slam-iw
Sal ghef yehviven
Yakw d lwaldin-iw
D wid a3zizen
Icelha lxater-iw
Lghiva tdul
Fellawen d felli
Ata ixaq wul
Mara d-yemmekti
Yet3awaz id ttul
Iruh nadam felli
Ruh ay ameddakwel
Err-iyi-d lexbar
Fella-k ar netskel
Mi tzegred levhar
Rgigh-k s la3jel
La3qel yeheyyer
A lvaz a k-cegg3agh
Di tignaw 3alli
Awed gher win hemmlegh
Anda yettili
Am wassa a t-zregh
Deg wass n l3ali
(Chanson de C.KHEDDAM)